Il est parfois difficile de peaufiner ses réglages, et avoir des conseils sur le sujet peut faire gagner pas mal de temps… On y va ?
Réglable de la table de mixage
Maintenant que vous savez comment choisir votre table de mixage, on peut passer aux choses sérieuses !
Branchement
Il faut d’abord brancher le microphone et régler ensuite la qualité du son.
En ce qui concerne les tables qui disposent pour chaque entrée de micro, leur propre gain (EQ), chaque voix (canal) est reliée à une touche appelée « mute ». Lors de l’utilisation du micro, il faut veiller à ce que cette touche soit désactivée en vue de permettre la sortie du signal.
Gestion du signal
Les interférences enregistrées lors du fonctionnement du micro peuvent être évitées grâce à un bon réglage du gain. Ce dernier permet d’obtenir un signal net.
En augmentant ou en diminuant le gain, le signal entrant suit les mêmes variations en entraînant des distorsions en entrée ou une mauvaise définition. Les boutons PFL ou CUE vous permettent de faire un meilleur ajustement en vue d’optimiser la marge de la plage dynamique.
Par ailleurs, les effets de dynamique (noise gate, compression et autres) et de timbre (égaliseur par exemple) sont optimiser avec les auxiliaires « pre-faders ». Les auxiliaires « post-faders » permettent d’optimiser les effets temps (écho, réverbération etc.). On peut alors dire que le volume général de sortie de la tranche est sous le contrôle des faders ou potentiomètre rectiligne 2.